Qu’est-ce que la chirurgie orthognatique ?
Le traitement réalisé par un orthodontiste corrige les anomalies de position des dents, pour créer un beau sourire, mais principalement pour obtenir une occlusion dentaire fonctionnelle (mastication, phonation, déglutition, respiration, prévention de l’usure et du déchaussement dentaire). Les anomalies dentaires modérées peuvent être corrigées par un traitement orthodontique.

En revanche, la croissance du massif facial peut se faire de manière anormale et ainsi entraîner un décalage important des mâchoires. Ces anomalies d’origine osseuse doivent donc être corrigées chirurgicalement. La chirurgie “orthognatique” (“ortho” = droit, “gnathos” = mâchoire) a pour objectif de redonner aux dents une position et une fonctionnalité adéquate, mais permet aussi de rééquilibrer l’harmonie du visage.
La chirurgie orthognatique est aussi indiquée chez le patient présentant des apnées du sommeil. Elle permet de libérer les voies aériennes supérieures, en repositionnant les muscles du plancher buccal et de la langue.
Cette chirurgie du squelette facial peut, par diverses interventions, modifier la position de l’ensemble des dents du haut (mâchoire supérieure = maxillaire ) ou du bas (mâchoire inférieure = mandibule) dans les 3 plans de l’espace.
Cette modification anatomique entraîne, outre le repositionnement des dents, un changement de la morphologie du visage (les tissus mous s’y attachant), qui doit être pris en compte lors de la planification du type d’opération. Si le résultat du repositionnement dentaire est visible instantanément après l’intervention, le résultat morphologique et esthétique n’est quant à lui évaluable qu’au bout de 2 à 3 mois après la fonte de l’oedème facial.
Importance du diagnostic précoce :
L’indication chirurgicale peut être posée précocement, mais la chirurgie orthognatique n’intervient qu’en fin de croissance, vers 16 ou 17 ans chez les filles, 18 ans chez les garçons afin d’éviter les risques de récidive liés à une croissance mandibulaire tardive défavorable, surtout chez les patients prognathes et asymétriques.
La chirurgie orthognatique représente un tournant décisif dans la correction des anomalies des mâchoires. Elle améliore également la santé bucco-dentaire et l’esthétique faciale de manière globale. Ce type de chirurgie, alliant précision médicale et souci esthétique, offre de nombreux avantages et bénéfices tangibles pour les patients.
Déroulement de l’opération
Aucune cicatrice cutanée n’est visible pour ce type d’intervention car l’incision est pratiquée dans la bouche. Les plaques métalliques servant à maintenir l’os ne sont ni visibles ni palpables. Elles peuvent demeurer à vie ou être retirées si le patient le désire.
L’opération est pratiquée sous anesthésie générale après consultation anesthésique préopératoire.
Le plus souvent, en fin d’intervention les mâchoires ne sont pas bloquées. Le lendemain de l’intervention des élastiques sont placés pour guider et stabiliser les mâchoires selon la nouvelle occlusion le temps de la cicatrisation osseuse (2 mois).
De nos jours, l’amélioration des techniques chirurgicales associées à une orthodontie moderne en technique visible ou invisible et l’optimisation de la chronologie orthodontie-chirurgie (protocole sans orthodontie, chirurgie dès le début du traitement…), permet une durée de traitement raccourcie, une prise en charge rapide, plus efficace, plus stable, plus confortable et à moindre coût pour les patients enfants, adolescents ou adultes.
L’amélioration rapide des anomalies dentaires et esthétiques, visible par le patient dès le début du traitement, contribue à le conforter dans sa prise de décision, et peuvent susciter assez facilement, sa satisfaction et donc son entière participation.
Première consultation & Bilan initial
Objectifs de la première consultation
- Évaluer les plaintes et les demandes du patient
- Réaliser un bilan clinique et des examens complémentaires pour déterminer un diagnostic précis et proposer un plan de traitement le plus adapté possible
- Expliquer les principes de la prise en charge orthodontico-chirurgicale
Bilan clinique et paraclinique initial
- Évaluer les motivation(s) du patient :
- Fonctionnelle : gêne masticatoire, respiratoire, trouble de la déglutition, de la phonation, anomalies occlusales et dentaires, apnée du sommeil, dysfonctionnement des articulations temporo-mandibulaires…
- Esthétique : attention à bien anticiper les conséquences psychologiques des modifications esthétiques du visage du patient
- Étude de l’état de la dentition, de la phonation, de la déglutition, de la respiration
- Étude du trouble de l’occlusion dentaire et du type de dysmorphose maxillo-faciale
- Étude de l’état des gencives et du niveau d’hygiène bucco-dentaire
- Examen des empreintes dentaires
- Bilan radiologique (panoramique dentaire, téléradiographie de face et de profil, analyse céphalométrique, scanner maxillo-madibulaire)
- Bilan photographique (facial et intra-oral) : Analyse esthétique du visage de face et de profil
- Examen polysomnographique, nombre d’apnée du sommeil, index apnée-hypopnée
Au terme de ce bilan, l’indication chirurgicale peut être confirmée. Le plan de traitement global est évoqué et clairement expliqué au patient. Celui-ci doit l’avoir parfaitement compris pour pouvoir y adhérer totalement. Un protocole orthodontico-chirurgical est en effet un traitement souvent long qui nécessite une participation active du patient à toutes les étapes. La préparation orthodontique préchirurgicale peut alors débuter.
Bilan pré-chirurgical
À la fin de la préparation orthodontique, un bilan pré-chirurgical est réalisé à partir de nouveau moulage, examens de radiologie et photographies. Si les objectifs de la préparation faite par l’orthodontiste ont été atteints, la date de l’intervention est fixée.
L’orthodontie et la chirurgie
Préparation orthodontique pré-chirurgicale
Le traitement pré-chirurgical réalisé par l’orthodontiste, a pour but de coordonner les arcades dentaires sans corriger le décalage des mâchoires pour obtenir un bon engrènement dentaire après l’intervention. Cette phase permet à l’orthodontiste d’aligner et niveler les arcades dentaires, éliminer les interférences et les prématurités occlusales, coordonner les arcades, redresser les dents de chaque arcade dentaire idéalement sur leur base squelettique pour donner au chirurgien l’amplitude de déplacement nécessaire à la correction squelettique. L’orthodontiste doit donc rétablir, au niveau des relations occlusales, un écart identique aux déplacements chirurgicaux envisagés.
Cette préparation peut aggraver le décalage dentaire et entraîner une détérioration progressive de l’occlusion et de l’esthétique le temps de la préparation orthodontique. L’orthodontiste en informe le patient au préalable, de telle façon que celui-ci comprenne et accepte mieux ce préjudice qui n’est que provisoire.
Orthodontie après la chirurgie
L’orthodontiste poursuit le traitement après la chirurgie avec essentiellement un travail de finition occlusale et d’intercuspidation pour parfaire l’engrènement dentaire. Ce traitement post-chirurgical permet d’aboutir à une consolidation osseuse satisfaisante. Elle dure entre 6 mois et 1an. Elle est suivie par la phase de contention.
Parfois, une correction complémentaire des dysfonctions (linguale, respiratoire, déglutition, phonation) devra être prescrite et poursuivie en post-opératoire. Elle sera exécutée par des kinésithérapeutes spécialisés de la face ou des orthophonistes en étroite collaboration avec l’orthodontiste.
Les techniques chirurgicales
- L’opération est pratiquée sous anesthésie générale après consultation anesthésique préopératoire.
- Les mâchoires sont abordées par des incisions de la muqueuse buccale (pas de cicatrice extérieure). Le chirurgien coupe les machoires au dessus des dents, ce qui permet de les déplacer dans la direction prévue avant l’intervention.
- Les fragments osseux sont alors fixés par des vis et des mini-plaques en titane (ostéosynthèse).
- Le plus souvent, en fin d’intervention les mâchoires ne sont pas bloquées. Les patients peuvent parler, boire et manger dès le soir même de l’intervention. Le lendemain de l’intervention des élastiques sont placés pour guider et stabiliser les mâchoires selon la nouvelle occlusion.
- La consolidation osseuse est obtenue au bout d’environ un mois et demi. Suivant les cas, le matériel d’ostéosynthèse peut être gardé ou retiré 12 mois après l’intervention.
Ostéotomie du maxillaire / ostéotomie de Le Fort I

Elle permet de déplacer les dents du haut.Différents mouvements sont possibles :
- Avancer le plateau maxillaire dans les Classes III
- Impacter le maxillaire dans les excès verticaux et les béances
- Segmenter le maxillaire dans les insuffisances du sens transversal
- Corriger une rotation ou une asymétrie du maxillaire
- Exceptionnellement de le reculer
Ostéotomie sagittale des branches montantes de la mandibule ou ostéotomie d’Epker

Elle permet de déplacer les dents du bas. Différents mouvements sont possibles :
- Avancer la mandibule dans les Classes II
- Reculer la mandibule dans les Classes III
- Corriger une rotation ou une asymétrie de la mandibule
Génioplastie

La génioplastie permet de corriger une anomalie de forme ou de volume du menton. Elle est très souvent associée aux ostéotomies des bases osseuses. elle a un but esthétique et fonctionnel ( permettre une fermeture des lèvres sans efforts).
Ces 3 ostéotomies maxillaire, mandibulaire ou du menton peuvent être associées entre elles en fonction des anomalies squelettiques initiales pour corriger des décalages importants, des anomalies verticales et des problèmes de rotation des mâchoires.
Types de chirurgies orthognatiques et leurs objectifs :
En somme, la chirurgie orthognatique est plus qu’une intervention médicale. Elle est une porte vers une nouvelle vie, marquée par une meilleure santé bucco-dentaire, une esthétique améliorée, et une qualité de vie accrue. Le centre d’Orthodontie et d’Implantologie à Rodez, grâce à son expertise, sa technologie de pointe et son approche centrée sur le patient, se positionne comme le choix privilégié pour ceux qui envisagent cette transformation.
Informations avant une ostéotomie maxillaire
Chirurgie d’avancée maxillaire :
Pourquoi opérer ?
- L’ostéotomie du maxillaire a pour objectif de repositionner le maxillaire (mâchoire supérieure) et son arcade dentaire pour corriger une anomalie de l’occlusion dentaire.
- Les anomalies de l’occlusion dentaire ont des conséquences à court, moyen et long terme qui justifient l’intervention chirurgicale :
– Risques importants de déchaussement et d’usure prématurée des dents entraînant leur perte précoce
– Gène à l’alimentation ou à l’élocution
– Trouble respiratoire avec une respiration buccale (bouche ouverte) et non nasale
– Difficulté voire une impossibilité d’appareillage en cas de perte de dents
– Retentissement esthétique en cas d’anomalie importante de position du maxillaire
– Pathologie des articulations des mâchoires (temporo-mandibulaires) avec des douleurs, des craquements, des claquements, des contractures musculaires. - Généralement, l’ostéotomie est associée à un traitement orthodontique réalisé avant et après l’intervention pour consolider le bénéfice de l’intervention chirurgicale. Dans certains cas, une ostéotomie de la mandibule est associée (ostéotomie maxillo-mandibulaire) ainsi qu’une intervention sur le menton (génioplastie).

Comment se déroule l’intervention ?
- Il vous sera demandé de vous doucher et de vous brosser les dents puis de rester strictement à jeun à partir de minuit (ni aliments, ni boissons, ni tabac) jusqu’à l’intervention.
- L’opération est pratiquée sous anesthésie générale après consultation anesthésique préopératoire.
- Le maxillaire est abordé par des incisions de la muqueuse buccale (pas de cicatrice extérieure). Le chirurgien coupe le maxillaire au-dessus des dents, ce qui permet de le déplacer dans la direction prévue avant l’intervention.
- Les fragments osseux sont alors fixés par des vis et des mini-plaques en titane (ostéosynthèse).
- Le plus souvent, en fin d’intervention les mâchoires ne sont pas bloquées. Le lendemain de l’intervention des élastiques sont placés pour guider et stabiliser les mâchoires selon la nouvelle occlusion.
- La consolidation osseuse est obtenue au bout d’environ un mois et demi. Suivant les cas, le matériel d’ostéosynthèse peut être gardé ou retiré 12 mois après l’intervention.
Les suites opératoires
- Saignements par le nez ou la bouche, fréquents et sans gravité juste après l’intervention.
- Gonflement des joues et des lèvres (oedème et hématome) très fréquent et parfois important.
- Douleur modérée qui cède avec des antalgiques simples et disparaît en quelques jours. Des vessies de glace enrobées dans un linge (pas directement sur la peau) diminuent le gonflement et la douleur. Des séances de drainage lymphatique de la face peuvent vous être prescrites pour accélérer le dégonflement.
- Alimentation liquide à prévoir dès le lendemain et les premières semaines, progressivement l’alimentation sera molle puis mixé pour une reprise alimentaire normale à un mois et demi. Une limitation de l’ouverture buccale est fréquente pendant quelques jours. On perd souvent du poids après l’intervention ce qui peut entraîner de la fatigue.
- Si vous êtes pris de vomissements, gardez votre calme et penchez-vous en avant pour que les liquides puissent s’évacuer entre les dents.
- Il faut absolument arrêter le tabac, l’alcool au moins 8 jours avant l’intervention et ce jusqu’à la fin de la cicatrisation de la plaie.
- Une bonne hygiène buccale est indispensable pour que la cicatrisation se fasse sans complication. Après chaque repas, les dents et les gencives devront être nettoyées par brossage. Des bains de bouche sont prescrits en complément du brossage. Le jet hydropulseur peut également être utilisé.
- Les points sur votre gencive sont résorbables (disparition en 3-4 semaines).
Les risques
Tout acte médical, même bien conduit, recèle un risque de complications :
- Saignement : Des saignements abondants sont rares au cours de l’intervention et peuvent exceptionnellement nécessiter une transfusion de sang ou de derives sanguins avec leurs risques inhérents. En cas de saignements post-opératoire très importants un geste chirurgical complémentaire peut être nécessaire.
- Diminution ou perte de la sensibilité de la lèvre supérieure ou des dents : Le nerf maxillaire chemine juste au dessus de la section de l’os. Il peut être étiré entrainant une diminution transitoire de la sensibilité qui disparaît généralement complètement après quelques semaines ou mois.
- Infection des tissus mous de la joue (cellulite) : Elle peut survenir quelques jours à quelques semaines après l’opération. Elle cède sous traitement antibiotique mais peut nécessiter de réintervenir.
- Consolidation osseuse des mâchoires en mauvaise position : Lorsqu’il s’agit de petits décalages, le traitement peut simplement consister à replacer le maxillaire dans une bonne position au moyen de tractions élastiques, geste qui sera éventuellement renforcé par le meulage ciblé des dents. Si les déplacements sont importants, une ré-intervention peut être nécessaire.
- Lésion des dents : Dans de très rares cas, des racines dentaires peuvent être lésées et nécessiter un traitement (résection apicale, dévitalisation, implant en cas de perte de dent). Il arrive que certaines dents soient temporairement un peu sensibles après le meulage.
- Modification morphologique et esthétique du visage après déplacement des maxillaires
- Troubles des articulations des mâchoires : Ils peuvent se manifester (ou s’aggraver s’ils sont préexistants) après ce type de chirurgie. Ils sont généralement bénins et s’améliorent le plus souvent spontanément en quelques mois.
- Blessure accidentelle de la muqueuse ou d’autres organes par les instruments chirurgicaux
- Retard ou absence de consolidation osseuse : Très rare, elle nécessite de réaliser un blocage des mâchoires et parfois une nouvelle intervention avec une greffe osseuse.
- Paralysie des muscles de la face : Elle est exceptionnelle et habituellement regressive.
- Récidive : Très rarement, une dégradation progressive de l’occlusion dentaire peut s’observer après l’opération. Un traitement orthodontique et/ou chirurgical peut devenir nécessaire.
- Troubles circulatoires : Extrêmement rare, ils entraînent une rétraction de la gencive, une perte d’os et des dents dans les cas extrêmes.
- D’autres complications encore plus rares ont été décrites.
Ce que vous devez prévoir
- Vous rendez à la consultation d’anesthésie.
- Ne pas prendre d’aspirine dans les 10 jours qui précèdent l’intervention. En cas de doute apporter votre ordonnance à votre chirurgien.
- Apporter les radiographies en votre possession.
- Durée prévisible d’hospitalisation : de 3 à 5 jours.
- Poches de glace à appliquer surtout les 2 premiers jours afin de limiter l’oedeme et les douleurs.
- Interruption scolaire ou de travail de 21 jours minimum et sportive de 2 mois.
- Consultation postopératoire vers le 10ème jour et un suivi médical de plusieurs mois.
- Séances de kinésithérapie : drainages lymphatiques et rééducation des articulations des mâchoires.
À découvrir également :
Chirurgie orthognatique au centre d’Orthodontie et d’Implantologie à Rodez
Informations avant une ostéotomie mandibulaire
L’ostéotomie mandibulaire vise à réaligner la mandibule pour corriger des anomalies de l’occlusion dentaire, offrant des solutions durables pour les dysfonctions et améliorations esthétiques.
Chirurgie d’avancée mandibulaire :
Pourquoi opérer ?
- L’ostéotomie de la mandibule a pour objectif de repositionner la mandibule (mâchoire inférieure trop en avant, en arrière et/ou asymétrique) et son arcade dentaire pour corriger une anomalie de l’occlusion dentaire.
- Les anomalies de l’occlusion dentaire ont des conséquences à court, moyen et long terme qui justifient l’intervention chirurgicale :
– Risques importants de déchaussement et d’usure prématurée des dents entraînant leur perte précoce
– Gène à l’alimentation ou à l’élocution
– Trouble respiratoire avec une respiration buccale (bouche ouverte) et non nasale
– Difficulté voire une impossibilité d’appareillage en cas de perte de dents
– Retentissement esthétique en cas d’anomalie importante de position du maxillaire
– Pathologie des articulations des mâchoires (temporo-mandibulaires) avec des douleurs, des craquements, des claquements, des contractures musculaires. - Généralement, l’ostéotomie est associée à un traitement orthodontique réalisé avant et après l’intervention pour consolider le bénéfice de l’intervention chirurgicale. Dans certains cas, une ostéotomie du maxillaire est associée (ostéotomie maxillo-mandibulaire) ainsi qu’une intervention sur le menton (génioplastie).

Comment se déroule l’intervention ?
- Il vous sera demandé de vous doucher et de vous brosser les dents puis de rester strictement à jeun à partir de minuit (ni aliments, ni boissons, ni tabac) jusqu’à l’intervention.
- L’opération est pratiquée sous anesthésie générale après consultation anesthésique préopératoire.
- Le maxillaire est abordé par des incisions de la muqueuse buccale (pas de cicatrice extérieure). Le chirurgien coupe le maxillaire au-dessus des dents, ce qui permet de le déplacer dans la direction prévue avant l’intervention.
- Les fragments osseux sont alors fixés par des vis et des mini-plaques en titane (ostéosynthèse).
- Le plus souvent, en fin d’intervention les mâchoires ne sont pas bloquées. Le lendemain de l’intervention des élastiques sont placés pour guider et stabiliser les mâchoires selon la nouvelle occlusion.
- La consolidation osseuse est obtenue au bout d’environ un mois et demi. Suivant les cas, le matériel d’ostéosynthèse peut être gardé ou retiré 12 mois après l’intervention.
Les suites opératoires
- Saignements par le nez ou la bouche, fréquents et sans gravité juste après l’intervention.
- Gonflement des joues et des lèvres (oedème et hématome) très fréquent et parfois important.
- Douleur modérée qui cède avec des antalgiques simples et disparaît en quelques jours. Des vessies de glace enrobées dans un linge (pas directement sur la peau) diminuent le gonflement et la douleur. Des séances de drainage lymphatique de la face peuvent vous être prescrites pour accélérer le dégonflement.
- Alimentation liquide à prévoir dès le lendemain et les premières semaines, progressivement l’alimentation sera molle puis mixé pour une reprise alimentaire normale à un mois et demi. Une limitation de l’ouverture buccale est fréquente pendant quelques jours. On perd souvent du poids après l’intervention ce qui peut entraîner de la fatigue.
- Si vous êtes pris de vomissements, gardez votre calme et penchez-vous en avant pour que les liquides puissent s’évacuer entre les dents.
- Il faut absolument arrêter le tabac, l’alcool au moins 8 jours avant l’intervention et ce jusqu’à la fin de la cicatrisation de la plaie.
- Une bonne hygiène buccale est indispensable pour que la cicatrisation se fasse sans complication. Après chaque repas, les dents et les gencives devront être nettoyées par brossage. Des bains de bouche sont prescrits en complément du brossage. Le jet hydropulseur peut également être utilisé.
- Les points sur votre gencive sont résorbables (disparition en 3-4 semaines).
Les risques
Tout acte médical, même bien conduit, recèle un risque de complications :
- Saignement : Des saignements abondants sont rares au cours de l’intervention et peuvent exceptionnellement nécessiter une transfusion de sang ou de derives sanguins avec leurs risques inhérents. En cas de saignements post-opératoire très importants un geste chirurgical complémentaire peut être nécessaire.
- Diminution ou perte de la sensibilité de la lèvre supérieure ou des dents : Le nerf maxillaire chemine juste au dessus de la section de l’os. Il peut être étiré entrainant une diminution transitoire de la sensibilité qui disparaît généralement complètement après quelques semaines ou mois.
- Infection des tissus mous de la joue (cellulite) : Elle peut survenir quelques jours à quelques semaines après l’opération. Elle cède sous traitement antibiotique mais peut nécessiter de réintervenir.
- Consolidation osseuse des mâchoires en mauvaise position : Lorsqu’il s’agit de petits décalages, le traitement peut simplement consister à replacer le maxillaire dans une bonne position au moyen de tractions élastiques, geste qui sera éventuellement renforcé par le meulage ciblé des dents. Si les déplacements sont importants, une ré-intervention peut être nécessaire.
- Lésion des dents : Dans de très rares cas, des racines dentaires peuvent être lésées et nécessiter un traitement (résection apicale, dévitalisation, implant en cas de perte de dent). Il arrive que certaines dents soient temporairement un peu sensibles après le meulage.
- Modification morphologique et esthétique du visage après déplacement des maxillaires
- Troubles des articulations des mâchoires : Ils peuvent se manifester (ou s’aggraver s’ils sont préexistants) après ce type de chirurgie. Ils sont généralement bénins et s’améliorent le plus souvent spontanément en quelques mois.
- Blessure accidentelle de la muqueuse ou d’autres organes par les instruments chirurgicaux
- Retard ou absence de consolidation osseuse : Très rare, elle nécessite de réaliser un blocage des mâchoires et parfois une nouvelle intervention avec une greffe osseuse.
- Paralysie des muscles de la face : Elle est exceptionnelle et habituellement regressive.
- Récidive : Très rarement, une dégradation progressive de l’occlusion dentaire peut s’observer après l’opération. Un traitement orthodontique et/ou chirurgical peut devenir nécessaire.
- Troubles circulatoires : Extrêmement rare, ils entraînent une rétraction de la gencive, une perte d’os et des dents dans les cas extrêmes.
- D’autres complications encore plus rares ont été décrites.
Ce que vous devez prévoir
- Vous rendre à la consultation d’anesthésie.
- Ne pas prendre d’aspirine dans les 10 jours qui précèdent l’intervention. En cas de doute apporter votre ordonnance à votre chirurgien.
- Apporter les radiographies en votre possession.
- Durée prévisible d’hospitalisation : de 3 à 5 jours.
- Poches de glace à appliquer surtout les 2 premiers jours afin de limiter l’oedeme et les douleurs.
- Interruption scolaire ou de travail de 21 jours minimum et sportive de 2 mois.
- Consultation postopératoire vers le 10ème jour et un suivi médical de plusieurs mois.
- Séances de kinésithérapie : drainages lymphatiques et rééducation des articulations des mâchoires.
À découvrir également :
Chirurgie orthognatique au centre d’Orthodontie et d’Implantologie à Rodez
Informations avant une ostéotomie du menton
Chirurgie d’avancée du menton :
Pourquoi opérer ?
L’ostéotomie du menton (appelée « Mentoplastie ou génioplastie ») a pour objectif de repositionner le menton lorsqu’il est trop en avant, trop en arrière, trop ou pas assez haut et/ou asymétrique. L’ostéotomie du menton est parfois associée à une chirurgie des mâchoires (ostéotomie maxillaire et/ou mandibulaire) ou à une rhinoplastie dans le cadre d’une profiloplastie. Elle a un rôle esthétique mais parfois aussi fonctionnel. Elle permet aux lèvres d’être en contact et de respirer la bouche fermée.
Ceci favorise la respiration nasale, participe à la prévention du ronflement et au maintien de la bonne position dentaire par l’équilibre des muscles de la langue et des lèvres.

Comment se déroule l’intervention ?
- L’opération est pratiquée sous anesthésie générale après une consultation de pré-anesthésie. Il vous sera demandé de vous doucher et de vous brosser les dents puis de rester strictement à jeun à partir de minuit (ni aliments, ni boissons, ni tabac) jusqu’à l’intervention.
- Dans la plupart des cas, le menton est abordé par des incisions de la muqueuse buccale (pas de cicatrice extérieure). Le chirurgien coupe le menton au dessous des dents ce qui permet de le déplacer dans la direction prévue avant l’intervention.
- Les fragments osseux sont alors fixés par des mini-plaques en titane (ostéosynthèse).
- Des points de suture sont mis en place dans la bouche. Ils disparaissent en 2 à 4 semaines ou sont ôtés en consultation.
- La consolidation osseuse est obtenue au bout d’environ d’un mois et demi. Suivant les cas, le matériel d’ostéosynthèse peut être gardé ou retiré à distance.
Les suites opératoires
- Saignements par la bouche, fréquents et sans gravité juste après l’intervention.
- Gonflement des joues, des lèvres et du cou (oedème et hématome) très fréquent et parfois important.
- Douleur modérée qui cède avec des antalgiques simples et disparaît en quelques jours. Des vessies de glace enrobées dans un linge (pas directement sur la peau) diminuent le gonflement et la douleur. Des séances de drainage lymphatique de la face peuvent vous être prescrites pour accélérer le dégonflement.
- Une bonne hygiène buccale est indispensable pour que la cicatrisation se fasse sans complication. Après chaque repas, les dents et les gencives devront être nettoyées par brossage. Des bains de bouche sont prescrits en complément du brossage. Le jet hydropulseur peut également être utilisé.
- Il faut absolument arrêter le tabac, l’alcool au moins 8 jours avant l’intervention et ce jusqu’à la fin de la cicatrisation de la plaie.
- Les points sur votre gencive sont résorbables (disparition en 3-4 semaines).
Les risques
Tout acte médical, même bien conduit, recèle un risque de complications :
- Saignement : Des saignements abondants sont rares au cours de l’intervention et peuvent exceptionnellement nécessiter une transfusion de sang ou de dérivés sanguins avec leurs risques inhérents. En cas de saignements post-opératoires très importants un geste chirurgical complémentaire peut être nécessaire.
- Diminution ou perte de la sensibilité de la lèvre inférieure, de la gencive et des dents : Elle est fréquente, habituellement temporaire (quelques semaines ou mois) mais rarement définitive.
- Infection des tissus mous du menton ou du cou (cellulite) : Elle peut survenir quelques jours à quelques semaines après l’opération. Elle cède sous traitement antibiotique mais peut nécessiter de réintervenir.
- Consolidation osseuse du menton en mauvaise position : Si les déplacements sont importants, une réintervention peut être nécessaire.
- Lésion des dents : Dans de très rares cas, des racines dentaires peuvent être lésées et nécessiter un traitement (résection apicale, dévitalisation, implant en cas de perte de dent). Il arrive que certaines dents soient temporairement un peu sensibles après le meulage.
- Modification morphologique et esthétique du visage après déplacement du menton.
- Blessure accidentelle de la muqueuse ou d’autres organes par les instruments chirurgicaux
- Retard ou absence de consolidation osseuse : Très rare, elle nécessite de réaliser une nouvelle intervention.
Ce que vous devez prévoir
- Vous rendez à la consultation d’anesthésie.
- Ne pas prendre d’aspirine dans les 10 jours qui précèdent l’intervention. En cas de doute apporter votre ordonnance à votre chirurgien.
- Apporter les radiographies en votre possession.
- Durée prévisible d’hospitalisation : de 0 à 2 jours.
- Poches de glace à appliquer surtout les 2 premiers jours afin de limiter l’oedème et les douleurs.
- Interruption scolaire ou de travail de 15 jours minimum et sportive de 2 mois.
- Consultation postopératoire vers le 10ème jour et un suivi médical de plusieurs mois.
À découvrir également :
Chirurgie orthognatique au centre d’Orthodontie et d’Implantologie à Rodez
Informations avant une disjonction inter-maxillaire
Pourquoi opérer ?
- L’ostéotomie de disjonction du maxillaire (mâchoire supérieure) a pour objectif d’élargir le maxillaire donc élargir l’arcade dentaire supérieure et le palais en cas de trouble de l’occlusion dentaire.
- Les anomalies de l’occlusion dentaire ont des conséquences à court, moyen et long terme qui justifient l’intervention chirurgicale :
– Risques importants de déchaussement et d’usure prématurée des dents entraînant leur perte précoce
– Gène à l’alimentation ou à l’élocution
– Trouble respiratoire avec une respiration buccale (bouche ouverte) et non nasale
– Difficulté voire une impossibilité d’appareillage en cas de perte de dents
– Retentissement esthétique en cas d’anomalie importante de position du maxillaire
– Pathologie des articulations des mâchoires (temporo-mandibulaires) avec des douleurs, des craquements, des claquements, des contractures musculaires. - Généralement, l’ostéotomie est associée à un traitement orthodontique réalisé avant et après l’intervention pour consolider le bénéfice de l’intervention chirurgicale. Il consiste en la réalisation et la pose d’un disjoncteur au palais qui sera conservé 3 à 6 mois (1 mois d’activation et 3 mois de consolidation). Dans certains cas, une ostéotomie maxillaire et/ou mandibulaire peuvent être associées ultérieurement.
Comment se déroule l’intervention ?
- Il vous sera demandé de vous doucher et de vous brosser les dents puis de rester strictement à jeun à partir de minuit (ni aliments, ni boissons, ni tabac) jusqu’à l’intervention.
- L’opération est pratiquée sous anesthésie générale après consultation anesthésique préopératoire.
- Le maxillaire est abordé par des incisions de la muqueuse buccale (pas de cicatrice extérieure).
Le chirurgien coupe le maxillaire au-dessus des dents et le sépare en son centre. - Un disjoncteur maintient les fragments osseux et permet de les écarter à chaque activation.
- Le plus souvent, en fin d’intervention, les mâchoires ne sont pas bloquées.
- La consolidation osseuse est obtenue au bout d’environ un mois et demi. Suivant les cas, le matériel d’ostéosynthèse peut être gardé ou retiré 12 mois après l’intervention :
– J1 : pose du disjoncteur au cabinet
– J1 + 1 semaine : intervention : disjonction inter maxillaire
– J1 + 2 semaines : activation du disjoncteur : 1 tour par jour (4 quart de tours par jour)
– J1 + 4 semaines : fin de l’activation, l’appareil est bloqué le temps de la cicatrisation
– J1 + 3 à 6 mois : dépose de l’appareil
Les suites opératoires
- Saignements par le nez ou la bouche, fréquents et sans gravité juste après l’intervention.
- Gonflement des joues et des lèvres (oedème et hématome) très fréquent et parfois important.
- Douleur modérée qui cède avec des antalgiques simples et disparaît en quelques jours. Des vessies de glace enrobées dans un linge (pas directement sur la peau) diminuent le gonflement et la douleur. Des séances de drainage lymphatique de la face peuvent vous être prescrites pour accélérer le dégonflement.
- Alimentation liquide à prévoir dès le lendemain et les premières semaines, progressivement l’alimentation sera molle puis mixé pour une reprise alimentaire normale à un mois et demi. Une limitation de l’ouverture buccale est fréquente pendant quelques jours. On perd souvent du poids après l’intervention ce qui peut entraîner de la fatigue.
- Si vous êtes pris de vomissements, gardez votre calme et penchez-vous en avant pour que les liquides puissent s’évacuer entre les dents.
- Il faut absolument arrêter le tabac, l’alcool au moins 8 jours avant l’intervention et ce jusqu’à la fin de la cicatrisation de la plaie.
- Une bonne hygiène buccale est indispensable pour que la cicatrisation se fasse sans complication. Après chaque repas, les dents et les gencives devront être nettoyées par brossage. Des bains de bouche sont prescrits en complément du brossage. Le jet hydropulseur peut également être utilisé.
- Les points sur votre gencive sont résorbables (disparition en 3-4 semaines).
Les risques
Tout acte médical, même bien conduit, recèle un risque de complications :
- Saignement : Des saignements abondants sont rares au cours de l’intervention et peuvent exceptionnellement nécessiter une transfusion de sang ou de derives sanguins avec leurs risques inhérents. En cas de saignements post-opératoire très importants un geste chirurgical complémentaire peut être nécessaire.
- Diminution ou perte de la sensibilité de la lèvre supérieure ou des dents : Le nerf maxillaire chemine juste au dessus de la section de l’os. Il peut être étiré entrainant une diminution transitoire de la sensibilité qui disparaît généralement complètement après quelques semaines ou mois.
- Infection des tissus mous de la joue (cellulite) : Elle peut survenir quelques jours à quelques semaines après l’opération. Elle cède sous traitement antibiotique mais peut nécessiter de réintervenir.
- Consolidation osseuse des mâchoires en mauvaise position : Lorsqu’il s’agit de petits décalages, le traitement peut simplement consister à replacer le maxillaire dans une bonne position au moyen de tractions élastiques, geste qui sera éventuellement renforcé par le meulage ciblé des dents. Si les déplacements sont importants, une ré-intervention peut être nécessaire.
- Lésion des dents : Dans de très rares cas, des racines dentaires peuvent être lésées et nécessiter un traitement (résection apicale, dévitalisation, implant en cas de perte de dent). Il arrive que certaines dents soient temporairement un peu sensibles après le meulage.
- Modification morphologique et esthétique du visage après déplacement des maxillaires
- Troubles des articulations des mâchoires : Ils peuvent se manifester (ou s’aggraver s’ils sont préexistants) après ce type de chirurgie. Ils sont généralement bénins et s’améliorent le plus souvent spontanément en quelques mois.
- Blessure accidentelle de la muqueuse ou d’autres organes par les instruments chirurgicaux
- Retard ou absence de consolidation osseuse : Très rare, elle nécessite de réaliser un blocage des mâchoires et parfois une nouvelle intervention avec une greffe osseuse.
- Paralysie des muscles de la face : Elle est exceptionnelle et habituellement regressive.
- Récidive : Très rarement, une dégradation progressive de l’occlusion dentaire peut s’observer après l’opération. Un traitement orthodontique et/ou chirurgical peut devenir nécessaire.
- Troubles circulatoires : Extrêmement rare, ils entraînent une rétraction de la gencive, une perte d’os et des dents dans les cas extrêmes.
- D’autres complications encore plus rares ont été décrites.
Ce que vous devez prévoir
- Vous rendre à la consultation d’anesthésie.
- Ne pas prendre d’aspirine dans les 10 jours qui précèdent l’intervention. En cas de doute apporter votre ordonnance à votre chirurgien.
- Apporter les radiographies en votre possession.
- Durée prévisible d’hospitalisation : de 0 à 2 jours.
- Poches de glace à appliquer surtout les 2 premiers jours afin de limiter l’œdème et les douleurs
- Interruption scolaire ou de travail de 15 jours minimum et sportive de 2 mois.
- Consultation postopératoire vers le 7ème jour et un suivi médical de plusieurs mois.
Au centre d’Orthodontie et d’Implantologie Ruthénois, nous sommes fiers de notre approche globale en matière de soins orthodontiques. La disjonction inter-maxillaire est une des nombreuses techniques que nous maîtrisons pour améliorer votre santé bucco-dentaire et votre qualité de vie. Notre engagement envers l’excellence, l’innovation et le soin personnalisé fait de notre centre un choix privilégié pour vos besoins orthodontiques à Rodez.
À découvrir également : Chirurgie orthognatique
Le sourire est souvent considéré comme le reflet de l’âme, et avoir des dents blanches peut renforcer la confiance en soi et améliorer les interactions sociales. Au centre d’orthodontie et d’implantologie Ruthénois, nous vous proposons des solutions de blanchiment dentaire sûres et efficaces pour illuminer votre sourire.
Qu’est-ce que le blanchiment dentaire ?
Le blanchiment dentaire est une procédure cosmétique destinée à rendre les dents plus blanches et plus éclatantes. Cette technique peut corriger les décolorations de l’émail et de la dentine, causées par divers facteurs tels que la consommation de certains aliments et boissons (café, thé, vin rouge), le tabagisme, ou encore l’âge. Le blanchiment au cabinet dentaire utilise des concentrations plus élevées de produits blanchissants. Notre dentiste peut également utiliser des lampes spéciales ou des lasers pour activer le produit blanchissant et accélérer le processus. Les résultats sont souvent visibles immédiatement après une ou plusieurs séances.

Comment se passe le blanchiment dentaire ?
Le processus de blanchiment suit généralement quelques étapes clés pour garantir l’efficacité et la sécurité du traitement.
Le processus du blanchiment
Voici un aperçu de la procédure typique pour un blanchiment dentaire au centre d’orthodontie et d’implantologie Ruthénois :
Consultation initiale et préparation :
Votre dentiste évalue la santé de vos dents et de vos gencives pour voir si le blanchiment vous convient. Cette consultation peut inclure un nettoyage et une discussion sur vos attentes. Notre dentiste appliquera une barrière protectrice sur vos gencives pour éviter l’irritation par le gel blanchissant, qui contient du peroxyde à haute concentration.
Application du gel :
Votre docteur applique le gel blanchissant sur les dents. Dans certains cas, le dentiste peut utiliser une lampe à lumière spéciale ou un laser pour activer le gel blanchissant. Cette étape aide à accélérer le processus chimique du blanchiment en facilitant la pénétration du peroxyde dans l’émail des dents, brisant ainsi les taches plus efficacement.
Temps de pose et nettoyage :
Le gel reste en place pendant environ 15 à 30 minutes, selon la méthode utilisée. Pour obtenir les résultats souhaités, il peut être nécessaire de réappliquer le gel. Votre docteur retire le gel, les protections des gencives enlevées, et les dents nettoyées pour éliminer les résidus. Vous pourrez voir les résultats immédiatement après la séance, bien que parfois plusieurs séances soient nécessaires pour atteindre la teinte désirée.
Soins post-traitement :
Nous vous fournirons des instructions pour maintenir l’éclat de vos dents après le traitement.
Conseils et précautions
Pour garantir un résultat optimal du blanchiment dentaire au centre d’Orthodontie et d’Implantologie Ruthénois, voici des conseils et précautions essentiels à suivre :
Avant le blanchiment dentaire
- Consultez un dentiste pour vérifier que vous êtes un bon candidat pour le blanchiment, compte tenu de votre santé dentaire et de vos antécédents médicaux.
- Nettoyez vos dents professionnellement pour éliminer plaque et tartre.
- Évitez les aliments et boissons qui tachent, comme le café, le thé, et le tabac, pour préparer vos dents au traitement.
Pendant le blanchiment dentaire
- Suivez strictement les instructions du dentiste pour l’utilisation des produits blanchissants.
- Signalez toute sensibilité dentaire au dentiste, qui pourra recommander des produits adaptés pour y remédier.
- Continuez d’éviter les aliments et boissons tachants pour maintenir les résultats pendant le traitement.
Après le blanchiment dentaire
- Maintenez une hygiène dentaire rigoureuse avec brossage, fil dentaire et rince-bouche pour conserver les effets du blanchiment.
- Limitez la consommation d’aliments susceptibles de tacher les dents et utilisez une paille pour les liquides colorants.
- Visitez régulièrement le dentiste pour des contrôles et pour évaluer si des retouches sont nécessaires.
Le blanchiment dentaire est une manière efficace de renouveler votre sourire. Au centre Ruthénois, nous sommes dédiés à vous fournir des soins personnalisés et de haute qualité. Visitez-nous pour découvrir quelle option de blanchiment convient le mieux à vos besoins et commencez votre voyage vers un sourire plus blanc et plus brillant. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter notre blog et à suivre nos conseils pour une santé bucco-dentaire optimale.
À découvrir également : Botox
L’injection de toxine botulique, communément appelée Botox, est devenue une procédure esthétique révolutionnaire. Elle est largement reconnue pour sa capacité à lisser les rides et rajeunir l’apparence du visage. Au centre Ruthénois, nous appliquons cette méthode avec précision. Nous offrons des résultats naturels et satisfaisants, en harmonie avec les besoins spécifiques de chaque patient.
Comprendre la toxine botulique
La toxine botulique relaxe les muscles responsables des rides d’expression. Cela permet une surface cutanée plus lisse et un visage visiblement rajeuni. Nous ciblons principalement le tiers supérieur du visage dans le domaine esthétique. Cela inclut les rides inter-sourcilières, du front, et de la patte d’oie.

Principes
Le principe de la toxine botulique consiste en l’utilisation des propriétés de relaxation musculaire de ce produit. Il ne s’agit pas d’un comblement. Le but le plus souvent recherché est de réduire l’action des muscles situés au niveau du front et des sourcils, afin d’atténuer aussi bien les rides horizontales que les rides verticales provoquées par la contraction de ces muscles. Une telle utilisation permet de lisser les reliefs cutanés, d’obtenir ainsi un effet de rajeunissement par relâchement de la tension musculaire ainsi qu’un effet préventif et protecteur contre le vieillissement quand le traitement est entretenu sur le long terme.
D’un point de vue plus global, la position des sourcils est assurée par un équilibre entre deux forces opposées, constituées par des muscles abaisseurs (situés au voisinage des sourcils) et un muscle releveur (le muscle frontal). Les rides horizontales sont dues à la contraction du muscle frontal qui est releveur. Les rides verticales inter-sourcillières sont occasionnées par la contraction des muscles abaisseurs. Les muscles de la tempe sont quant à eux responsables des rides de la patte d’oie et leur relaxation peut permettre d’obtenir une légère ascension de la queue des sourcils.
Objectifs
L’objectif essentiel de ce traitement est de diminuer les rides et les ridules au repos et non d’empêcher la contraction musculaire : on jugera donc le résultat principalement sur l’aspect des rides au repos. On pourra toutefois constater, en dynamique, une atténuation de la puissance de contraction des muscles visés, sans qu’ils ne soient pour autant «paralysés» si le (la) patient(e) ne le souhaite pas et que les doses ont été bien adaptées.
En ce qui concerne la balance entre les muscles abaisseurs et élévateurs, la toxine botulique en atténuant l’action d’un groupe de muscle, atténue les rides dues à ces muscles mais libère l’action des muscles antagonistes : le but est de traiter la balance musculaire et d’obtenir ainsi une harmonisation du visage.
Le traitement par toxine botulique doit être conçu et géré dans le temps : il convient donc de traiter progressivement et d’éviter le risque « d’en faire trop » lors des premières injections. Il vaut mieux une première séance modérément efficace que trop efficace : il n’est donc pas souhaitable de vouloir un résultat optimal dès la première injection. On pourra toujours rajouter du produit si l’effet est insuffisant, alors qu’on ne pourra pas en enlever s’il est jugé excessif. Dans certains cas, il peut être nécessaire de pratiquer plusieurs séances d’injections avant d’adapter au mieux les possibilités du produit à chaque patient(e).
Préparation et procédure
Avant les injections
Aucune préparation particulière n’est nécessaire. Le jour de l’injection, vous n’avez pas besoin d’être à jeûn. Pour les femmes, il convient de prévoir de venir sans maquillage ou de l’enlever avant les injections. Il est très important de minimiser les risques de saignement des régions traitées en évitant de prendre de l’aspirine pendant les 15 jours qui précèdent les injections et les 15 jours qui les suivent.
Il convient de respecter les contre-indications suivantes :
- Certaines maladies neuro-musculaires comme la myasthénie.
- La grossesse et l’allaitement : le fait d’être enceinte, même de quelques jours seulement, nécessite impérativement de repousser la date des injections après la grossesse et l’arrêt de l’allaitement éventuel. Il convient par conséquent en cas de doute d’effectuer les examens nécessaires et d’en communiquer les résultats à votre médecin.
- La toxine botulique est contre-indiquée en cas d’hypersensibilité connue à la neurotoxine botulinique A ou à la sérum-albumine, et de traitement par les aminosides (famille d’antibiotiques dont font partie notamment l’Amiklin et la Gentalline).
Il convient aussi de respecter un certain nombre de précautions :
- Si vous êtes soigné(e) par ailleurs par des injections de toxine botulique pour des spasmes pathologiques, si vous avez eu un épisode de paralysie des muscles de la face, si vous souffrez d’une maladie neuro-musculaire ou de troubles de la coagulation, vous devez en faire part au praticien qui vous prend en charge pour ces injections de Toxine Botulique. Celui-ci jugera alors avec votre médecin traitant de l’opportunité des injections sur votre personne et de la manière de procéder s’il y a lieu.
- Si d’ici les injections, vous prenez des médicaments de type anti-coagulants ou aspirine ou antibiotiques, ou si vous avez un ennui de santé quelconque (notamment infection, grippe, abcès dentaire…) vous devez impérativement en faire part à votre médecin avant l’injection.
- D’une manière générale, vous ne devez pas hésiter à mentionner à votre praticien, le moindre problème de santé rencontré afin que celui-ci apprécie l’opportunité des injections. Dans le même ordre d’idée, vous devez lui faire part de toutes vos interrogations et mentionner tous les traitements dont vous avez pu faire l’objet ou dont vous faites encore l’objet.
Type d’anesthésie
Les injections étant peu douloureuses, dans la grande majorité des cas aucune anesthésie n’est nécessaire. Toutefois, chez certain(e)s patient(e)s très sensibles, on peut utiliser une crème anésthésiante superficielle type Emla.
Déroulement des injections
Le traitement sera réalisé au cabinet du praticien ou dans une clinique selon le choix et les habitudes de votre médecin. Ce traitement consiste en une série d’injections au niveau du visage. L’aiguille est fine, et les injections sont habituellement peu douloureuses. La durée du traitement est de l’ordre de quelques minutes.
Après les injections : Les suites
Pendant les deux heures qui suivent les injections, nous vous recommandons de ne pas faire de sport intensif et de ne pas vous allonger. Il convient également d’éviter les manipulations du visage ou les massages appuyés. Évitez aussi de porter un casque, une casquette ou un chapeau trop serré dans les 24 heures qui suivent la séance. Il est très important de minimiser les risques de bleus ou de saignement des régions traitées pendant les quinze jours qui précèdent et suivent les injections. Cela permet de limiter le risque de fuite du produit vers les muscles périphériques, ce qui pourrait entraîner des effets non désirés.
Par ailleurs, pendant les trois jours qui suivent les injections, nous vous recommandons de fortement contracter les muscles injectés trois fois par jour pendant environ 5 secondes par muscle. Habituellement, les suites de ces injections sont simples. Quelques marques un peu gonflées subsistent 20 à 30 minutes puis disparaissent. Les patient(e)s peuvent reprendre leurs activités normalement après les injections. L’utilisation de doses adaptées à chaque cas, en fonction notamment de la puissance musculaire permet d’éviter l’aspect « figé » souvent redouté par les patient(e)s.
Quelques rares effets indésirables peuvent apparaître. Ils sont transitoires. Il peut s’agir de :
- Rougeur : une rougeur localisée aux points d’injection a été parfois signalée et persiste rarement au delà de 3 à 6 jours.
- Ecchymoses («bleus») : des bleus sont en fait rarement observés au niveau des zones d’injection et peuvent perdurer quelques jours.
- OEdèmes : un gonflement, le plus souvent autour des yeux, peut s’installer progressivement en 4 à 5 jours, pour décroître ensuite en quelques jours à quelques semaines.
- Troubles de la sensibilité : une sensation de tension ou de fixité du front, de la bouche ou du cou, suivant les zones injectées, ainsi qu’une modification de la sensibilité souvent liée à une sensation de cartonnement peut persister plusieurs jours
- Douleurs fugaces oculaires ou faciales : de telles douleurs ont été décrites dans les zones injectées de manière tout à fait exceptionnelle.
Quoi qu’il en soit, dans les suites de ces injections, n’hésitez surtout pas à recontacter votre praticien si vous avez la moindre inquiétude.
Résultats et suivi
Effets
Les résultats sont visibles au bout de quelques jours mais pendant environ 15 jours, les effets sur le visage peuvent être variables (voire asymétriques à certains moments) avant de finir par se stabiliser. Le résultat obtenu après la première séance dure en moyenne 3 à 6 mois au terme desquels, l’injection peut être renouvelée. Le but de ces injections est d’apporter une amélioration et non pas d’atteindre la perfection. Si vos souhaits sont réalistes, le résultat obtenu devrait vous donner une grande satisfaction.

Fréquence des injections
Les injections doivent être pratiquées plusieurs fois avec des intervalles de 3 à 6 mois afin d’obtenir une certaine stabilité du résultat. A partir de la deuxième injection, les résultats peuvent être plus durables (6 à 8 mois). Il convient ensuite de répéter les injections tous les 3 à 6 mois. Il est cependant recommandé de ne jamais rapprocher à moins de 3 mois les séances d’injections pour éviter notamment de créer une résistance au produit par un « effet vaccin ». L’aspect du résultat peut être stabilisé au-delà de 3 injections mais dans certains cas, il convient d’avoir recours à au moins 8 à 10 injections pour obtenir une certaine stabilisation du résultat.
À l’inverse, il convient de remarquer que, l’action de la toxine restant temporaire, si l’on arrête les injections même après plusieurs années de traitement, les muscles traités retrouvent leur fonction normale d’avant les injections.
Les imperfections de résultat
Imperfections localisées :
Sans qu’elles ne constituent de réelles complications, dans quelques cas, des imperfections localisées (persistance de petites ridules) peuvent être observées surtout quand le traitement a été instauré tardivement. Elles dépendent de l’aspect de surface de la peau qui peut présenter, déjà avant les injections, une « fracture » indélébile due à l’ancienneté de la ride. Il peut exister aussi des résultats insuffisants et même asymétriques : ils sont dûs au fait que nous avons des muscles plus ou moins puissants et surtout souvent asymétriques. Ces imperfections sont en général traitées par une injection complémentaire de Toxine Botulique, le mois suivant l’injection. Il convient de remarquer que si une injection complémentaire localisée peut parfois être souhaitable après une injection pour parfaire le résultat, celle-ci ne doit pas être réalisée avant le 15ème jour car les balances musculaires (équilibre entre les groupes de muscles) mettent environ 15 jours pour s’établir.
Asymétrie résiduelle :
Une asymétrie des deux côtés du visage, ainsi que des rides plus marquées d’un côté que de l’autre, existent le plus souvent avant l’injection. Enfin le muscle responsable de la ride peut être plus puissant d’un côté que de l’autre. Ceci est généralement analysé avant l’injection. Dans une telle hypothèse, les injections se feront suivant une technique adaptée et légèrement différente d’un côté par rapport à l’autre. Malgré cette précaution, une asymétrie résiduelle peut persister et est éventuellement susceptible de bénéficier d’une injection complémentaire. Les actes à visées esthétiques ont pour objectif de rendre plus heureux et de vous satisfaire dans des proportions réalistes. Il arrive cependant parfois que l’effet ainsi escompté ne soit pas atteint et que ces actes augmentent au contraire des troubles psychologiques pré-existants. Le vécu post-injection peut être extrêmement différent d’un patient à l’autre, et ce même avec un résultat esthétique comparable. Dans le cas de la Toxine Bolutique, le rajeunissement est obtenu en contrepartie d’une diminution, voire disparition de certaines expressions du visage. Cet aspect a été évalué avec vous pour éviter les risques de déconvenues notamment si vous êtes acteur, présentateur, etc…
Les complications envisageables
Les complications sont très rares et aucune n’est définitive. Les éventuelles complications connues à ce jour sont les suivantes :
Complications loco-régionales :
- Maux de tête : ils peuvent être présents au décours des premières injections et disparaissent au bout de quelques heures à quelques jours.
- Ptosis des sourcils : l’injection du front peut provoquer une légère descente des sourcils. Cette descente est généralement due au fait que les sourcils étaient déjà en position basse avant l’injection. Ce léger abaissement des sourcils régresse habituellement en quelques semaines.
- Ptosis des paupières : l’injection des rides du lion peut provoquer une chute partielle de la paupière supérieure qui peut durer 4 à 8 semaines. Elle est rare (moins de 1% des cas), et disparaît toujours au-delà de quelques semaines.
- Gêne au sourire et à la déglutition : l’injection dans les lèvres peut provoquer une gêne au sourire ou de petits mouvement anormaux. L’injection au niveau du cou peut entraîner une difficulté à déglutir.
- Sécheresse oculaire : par diminution de la sécrétion lacrymale susceptible d’entraîner une kératite, notamment chez les patients porteurs de lentilles de contact (il convient, dans ce cas, de veiller à bien hydrater la cornée).
- Contraction paradoxale d’un muscle et troubles de la mimique : dans les jours suivant l’injection, les muscles traités peuvent présenter quelques mouvements paradoxaux (contractions spontanées) sans gravité.
- Diplopie (vision double) : quelques rares cas ont été rencontrés. La plupart du temps cantonné au champ visuel latéral, la régression en quelques semaines est là aussi habituelle.
Complications générales :
Elles sont tout à fait exceptionnelles :
- Réaction allergique : éruption cutanée, urticaire, réaction allergique générale.
- Nausées, vertiges
- Fatigue, fièvre, syndrome grippal
- Sécheresse cutanée ou buccale.
À ces risques connus s’ajoutent les imprévisibilités de durée et d’aspects et enfin, les risques exceptionnels, voire même des risques inconnus inhérents à tout acte médical.
Au total, il ne faut pas surévaluer les risques, mais simplement prendre conscience que toute injection au niveau du visage comporte toujours une petite part d’aléas. Le recours à un praticien qualifié vous assure que celui-ci a la formation et la compétence requises pour savoir minimiser ces complications, où les gérer au mieux le cas échéant.
TARIF : à partir de 400 € par seringue
Au centre Ruthénois, nous nous engageons à utiliser la toxine botulique avec une précision et une attention qui respectent l’individualité et les objectifs esthétiques de chaque patient. Notre approche vise à offrir une expérience de rajeunissement facial qui allie efficacité et naturalité. Elle renforce la confiance en soi de nos patients grâce à des résultats harmonieux et durables.
À découvrir également : Injection d’acide hyaluronique
Au centre d’Orthodontie et d’Implantologie à Rodez, l’injection d’acide hyaluronique représente une approche révolutionnaire pour combattre les signes du vieillissement. L’injection d’acide hyaluronique est non seulement populaire pour son efficacité mais aussi pour la rapidité de ses résultats et sa capacité à offrir un aspect naturel et rajeuni.
Comprendre l’acide hyaluronique
Face à la demande de plus en plus forte pour des techniques douces de Médecine Esthétique (non chirurgicales) visant à lutter contre les effets du vieillissement, le nombre et la qualité des matériaux injectables a considérablement évolué ces dernières années et leur utilisation est devenue extrêmement fréquente. Il s’agit de produits fluides qui peuvent être injectés, soit pour remodeler certaines parties du visage, soit afin d’obtenir le comblement de rides, sillons ou autres dépressions de la face.
Une séance d’injections peut être réalisée isolément, mais peut aussi préluder ou compléter des techniques médico-chirurgicales de rajeunissement plus radicales telles que resurfaçages (peeling, laser, dermabrasion), blépharoplasties (paupières supérieures et/ou inférieures), liftings etc… Elle peut aussi se faire parallèlement à des injections de Toxine Botulique visant à diminuer le tonus de certains muscles responsables de l’apparition de rides.

Objectifs
Une injection de produits de comblement se propose de corriger, par un moyen simple et rapide, certains signes de vieillissement ou disgrâces présents au niveau du visage, en remplissant ou en donnant du volume là où cela est nécessaire.
Les corrections les plus fréquemment effectuées peuvent être réparties en quatre catégories :
- Sillons : sillons naso-géniens (de l’aile du nez au coin de la bouche), plis d’amertume (du coin de la bouche, de part et d’autre du menton), sillon labio-mentonnier….
- Rides et ridules : front, «rides du lion» (entre les sourcils), «patte d’oie» (au coin des yeux), joues, menton, «plissé soleil» autour de la bouche.
- Lèvres : redessiner l’ourlet (contour), les épaissir si elles sont trop fines, ou les rendre plus pulpeuses
- Dépressions (creux) ou manques de volume : pommettes, menton, contour mandibulaire, joues, nez, séquelles cicatricielles (acné, varicelle, traumatisme…
Habituellement, ces disgrâces ne vont pas complètement disparaître mais seront considérablement atténuées par les injections. Certaines altérations répondent d’ailleurs beaucoup mieux au traitement que d’autres plus délicates à gérer. De même, la pérennité de la correction est extrêmement variable selon les produits (cf plus loin) et les patient(e)s, mais dans la plupart des cas la correction n’est que temporaire et le traitement devra être renouvelé pour entretenir le résultat.
Il faut noter que de nombreuses autres altérations peuvent être présentes, mais leur traitement n’est possible qu’en utilisant des techniques médico-chirurgicales plus complexes que de simples injections. Il en est ainsi en particulier de l’affaissement des tissus (exemple : bajoues) et de l’excédent cutané (exemple : paupières) qui ne pourront être supprimés que chirurgicalement. De même, certaines anomalies cutanées (aspérités, petites cicatrices, taches, micro-ridules, « fripé cutané ») ne seront corrigées que par un resurfaçage (peeling, laser, dermabrasion).
Les injections, pratiquées aussi bien chez la femme que chez l’homme, peuvent être effectuées dès 30-35 ans. Toutefois, elles sont parfois réalisées beaucoup plus précocement, lorsque les disgrâces sont constitutionnelles ou héréditaires et non pas liées à l’âge (lèvres, pommettes…). En cas de correction volumétrique importante (pommettes, menton,..) ou chez les patient(e)s allergiques, il conviendra de discuter avec votre praticien de l’intérêt d’une réinsertion de graisse autologue ( ou lipo-filling ou lipostructure).

L’importance de la préparation
Avant l’intervention :
La consultation préalable est une étape cruciale pour personnaliser le traitement. Le praticien évalue l’état de santé général du patient, discute des zones à améliorer et fixe des objectifs réalistes. Cette évaluation permet d’identifier la meilleure stratégie d’injection pour obtenir des résultats naturels et satisfaisants. Le dialogue ouvert contribue à aligner les attentes du patient avec ce qui est médicalement faisable, assurant ainsi une satisfaction accrue.
Les médicaments à base d’Aspirine ou d’anti-inflammatoire devront être évités dans les 3 jours précédant l’injection. Il est préférable de ne pas boire d’alcool, ni s’exposer fortement au soleil la veille et le jour de la séance.
Options d’anesthésie :
Pour garantir le confort pendant l’intervention, des méthodes d’anesthésie sont soigneusement sélectionnées. La crème Emla, appliquée en couche épaisse avant le traitement, est une option pour les zones sensibles. Dans certains cas, une anesthésie locale peut être préférée pour assurer une insensibilité totale de la zone traitée. Ces options permettent de réaliser l’intervention sans douleur, augmentant la détente et la coopération du patient. Les seringues d’acide hyaluronique utilisé par le Dr Pascual intègre du produit anesthésiant directement dans les seringues
Le traitement en pratique
La séance d’injection
En fonction du praticien, du nombre de zones à traiter, de l’ampleur des améliorations à apporter, et de la nécessité éventuelle de réaliser une anesthésie, la séance d’injection peut durer de 10 minutes à 1 heure. En pratique, il existe plusieurs techniques d’injections et chaque médecin adoptera une méthode qui lui est propre et qu’il adapte à chaque cas pour obtenir les meilleurs résultats.
La quantité de produit nécessaire (nombre de seringues) est bien sûr extrêmement variable en fonction de très nombreux paramètres. Il sera évalué le plus précisément possible au préalable. Dans certains cas, il est préférable d’envisager d’emblée une séance de retouche après quelques jours ou quelques semaines afin d’optimiser le résultat.
Rehaussement du contour des lèvres :
Comblement de la vallée des larmes :
Correction du dorsum nasal :
Remodelage du menton :
Comblement des tempes :
Augmentation du volume des lèvres :
Après l’injection
Les six premières heures il vaut mieux rester au calme, se reposer et s’abstenir de tout effort violent. Il est aussi souhaitable d’éviter autant que possible de mobiliser son visage ( pas de mimique, ne pas trop parler ni rire). Pendant quelques jours il sera préférable d’éviter l’alcool, l’Aspirine, les anti-inflammatoires, le soleil et le sauna. Les suites immédiates peuvent éventuellement être marquées par l’apparition d’un oedème (gonflement) et d’une rougeur cutanée dont l’importance et la durée sont très variables selon les produits et d’un individu à l’autre, mais qui restent habituellement modérés (n’interdisant pas le retour à une vie socio-professionnelle normale très rapidement) et disparaissent au bout d’un à trois jours. Sur les lèvres toutefois, l’oedème, souvent plus marqué peut parfois durer une bonne semaine.
Plus rarement, on peut observer durant les premiers jours, au niveau des points d’injections, une certaine sensibilité de la peau, des démangeaisons, une pâleur cutanée, une hyperpigmentation, ou de petites ecchymoses ponctuelles (bleus).
Il faut noter que les premiers jours, il peut exister quelques irrégularités temporaires dues à la répartition inhomogène de l’oedème, ou un aspect d’hypercorrection (en relief) qui va progressivement disparaître.
Les résultats
Un délai de quelques jours est nécessaire pour apprécier le résultat définitif. C’est le temps nécessaire pour que le produit se soit bien intégré, que l’oedème ait disparu et que les tissus aient retrouvé toute leur souplesse. Le résultat immédiat après traitement n’est donc pas le reflet du résultat final. Les injections auront permis de corriger les problèmes visés, rectifiant ainsi de façon discrète et naturelle l’aspect vieilli et fatigué du visage. À noter que les injections de comblement, contrairement aux injections de Toxine Botulique, n’altèrent pas la mobilité des muscles de la face et ne réduisent donc pas les expressions du visage.
Habituellement, les disgrâces traitées sont très nettement atténuées par les injections, mais ne disparaissent pas toujours complètement. En effet, certaines localisations sont particulièrement difficiles à traiter et il existe des rides profondes et anciennes qui ne pourront jamais être complètement effacées. On a vu que la durée d’action est extrêmement variable selon les produits (résorbables ou pas), mais aussi selon les zones à traiter (moins durables sur les lèvres), la technique d’injection, et les patient(e)s en fonction du type de peau, de l’hygiène de vie (stress, tabac, alcool, soleil…) et du degré de perfection recherché. Dans la plupart des cas cependant, la correction n’est que temporaire et le traitement devra être renouvelé après quelques mois ou années pour entretenir le résultat.
Effets secondaires indesirables possibles
Tout acte médical si minime soit-il, comporte un certain nombre d’incertitudes et de risques. En choisissant un praticien qualifié, formé spécifiquement à ces techniques d’injection et sachant choisir le produit le mieux adapté à votre cas, vous limitez ces risques sans toutefois les supprimer complètement, d’autant plus que la majorité des problèmes potentiels sont inhérents au produit lui-même et aux réactions qu’il peut induire de façon imprévisible :
- Réactions allergiques : elles sont essentiellement l’apanage du collagène et devraient être évitées par les tests préalables.
- Réactions locales post-injections : on a vu que peuvent parfois se rencontrer oedème, rougeur, pâleur, irrégularités, sensibilité, démangeaisons, ecchymoses. Ces réactions ne sont toutefois que temporaires.
- Poussée d’herpès labial : chez les sujets prédisposés.
- Réaction inflammatoire aiguë ou chronique : possible après injection secondaire dans une zone ayant déjà été injectée avec d’autres produits, en particulier non résorbables.
- Granulomes : bien que rares, c’est la complication la plus « classique ». Il s’agit de petits nodules indurés, plus ou moins sensibles, perceptibles au toucher, parfois visibles et inesthétiques, se présentant souvent « en chapelet » le long d’une ligne d’injection. Ils correspondent à une réaction inflammatoire localisée pouvant évoluer par poussées. Ils peuvent apparaître quelques jours à quelques semaines après l’injection. Avec les produits résorbables ils sont beaucoup plus rares (exceptionnels avec les Acides hyaluroniques) et surtout, ils sont alors la plupart du temps spontanément régressifs en quelques semaines (quelques mois pour le collagène). A l’inverse, les granulomes observés avec les produits non résorbables sont malheureusement plus fréquents, peuvent apparaître plus tardivement (même plusieurs années après l’injection) et sont souvent plus importants et plus durables (parfois plusieurs années).
- Complications rarissimes : quelques cas ont été décrits de rougeur persistante plusieurs semaines, d’abcès ou de nécrose cutanée, localisés sur un point d’injection.
Au final, il ne faut pas dramatiser les choses en surévaluant les risques, mais simplement prendre conscience qu’une injection de produit de comblement, même apparemment simple puisque non chirurgicale, comporte toujours une petite part d’aléas. Le recours à un praticien qualifié vous assure que celui-ci a la formation et la compétence requises pour essayer d’éviter ces problèmes, ou les traiter efficacement le cas échéant. Il est important que nous notiez soigneusement la nature du produit injecté afin de pouvoir en aviser un autre praticien qui serait éventuellement amené à vous prendre ultérieurement en charge.
TARIF : à partir de 400 € par seringue
Le centre Ruthénois est votre partenaire privilégié pour des soins esthétiques visant à restaurer l’éclat naturel de votre visage. En choisissant notre centre, vous bénéficiez d’une approche attentive et personnalisée, garantissant des résultats qui répondent précisément à vos attentes.
À découvrir également : Botox
Importance du bilan parodontal
Le bilan parodontal joue un rôle crucial dans la prévention des maladies des gencives. Il permet d’identifier les signes avant-coureurs de la parodontite, une affection qui, si elle n’est pas traitée, peut entraîner la perte des dents. Ce diagnostic est la première étape vers une bouche saine et un sourire éclatant.
Qu’est-ce qu’un bilan parodontal ?
Le bilan parodontal est une évaluation complète de la santé des gencives et des structures de soutien des dents. Au Centre d’orthodontie et d’implantologie Ruthénois, situé à Rodez, nous réalisons ce diagnostic approfondi, qui est essentiel. Il nous permet de détecter les maladies parodontales dès leur apparition. Grâce à cela, nous pouvons élaborer un plan de traitement précis et efficace. Ainsi, nous accordons une importance primordiale à cette évaluation, garantissant la meilleure santé bucco-dentaire pour tous nos patients.

Le processus du bilan parodontal
Le bilan parodontal suit un processus précis et méthodique, conçu pour assurer une évaluation complète de la santé de vos gencives. Voici les étapes clés :
- Consultation initiale : D’abord, nous commençons par une consultation pour comprendre vos préoccupations et objectifs de santé bucco-dentaire.
- Examen clinique : Ensuite, nos experts examinent vos gencives pour identifier tout signe d’inflammation, saignement ou récession.
- Mesure des poches parodontales : Cette étape cruciale implique de mesurer la profondeur des poches autour de chaque dent, un indicateur essentiel de la santé parodontale.
- Radiographies : Nous effectuons des radiographies pour évaluer l’état de l’os soutenant les dents, détectant toute perte osseuse.
- Diagnostic : Avec ces informations, nous établissons un diagnostic précis, identifiant les zones nécessitant un traitement.
- Plan de traitement : Sur la base du diagnostic, nous élaborons un plan de traitement personnalisé, visant à restaurer et à maintenir votre santé parodontale.
- Conseils préventifs : Enfin, nous vous fournissons des conseils personnalisés pour vous aider à maintenir une bonne hygiène bucco-dentaire et prévenir de futures maladies parodontales.
Chaque étape du bilan parodontal est effectuée avec soin et précision, garantissant que vous recevez le meilleur traitement possible.
Les avantages du bilan parodontal
Le bilan parodontal offre de multiples avantages pour la santé bucco-dentaire. Voici les principaux bénéfices :
Prévention des maladies parodontales
Un bilan parodontal régulier joue un rôle crucial dans la prévention des maladies des gencives. En identifiant les premiers signes d’inflammation ou de saignement, nous pouvons intervenir rapidement. Cette approche proactive empêche la progression de la maladie parodontale, réduisant ainsi le risque de complications graves, comme la parodontite. Prévenir ces affections contribue à maintenir vos gencives saines et à protéger les structures de soutien de vos dents.
Maintien de la santé bucco-dentaire
L’impact d’un bilan parodontal régulier sur la santé générale de la bouche est significatif. En surveillant étroitement l’état de vos gencives et de vos dents, nous pouvons détecter et traiter précocement tout problème. Cette vigilance continue aide à maintenir un équilibre sain dans votre bouche, favorisant une meilleure hygiène bucco-dentaire et réduisant le risque de maladies orales. Un bilan régulier soutient ainsi une bouche saine, ce qui est essentiel pour le bien-être général.
Préservation des dents naturelles
Le bilan parodontal contribue de manière significative à la préservation de vos dents naturelles. En détectant tôt les maladies parodontales, nous pouvons appliquer des traitements ciblés pour éviter la perte des dents. Prévenir la progression des maladies des gencives et s’occuper immédiatement des problèmes dès leur détection est crucial pour maintenir vos dents fortes et saines. Par conséquent, considérez le bilan parodontal comme un investissement précieux pour la durée de vie de votre sourire. Il assure la pérennité de vos dents naturelles, les maintenant en place le plus longtemps possible.
En conclusion, effectuer un bilan parodontal régulier au centre d’orthodontie et d’implantologie Ruthénois est crucial. Il sert à prévenir les maladies des gencives, à maintenir une bonne santé bucco-dentaire, et à conserver vos dents naturelles. Opter pour ces bilans constitue un investissement dans la santé de votre bouche et dans l’éclat de votre sourire pour les années à venir.
Au centre Ruthénois, notre objectif est de vous offrir une expérience patient exceptionnelle, tout en améliorant votre santé bucco-dentaire.
À découvrir également : Greffe gingivale
Dans le domaine de la dentisterie moderne, le surfaçage dentaire se positionne comme une procédure incontournable pour maintenir une bonne santé bucco-dentaire. Pratiqué par le centre d’Orthodontie et d’Implantologie Ruthénois, cette intervention a pour objectif de nettoyer en profondeur les racines des dents, éliminant plaque et tartre accumulés sous la gencive. Ce traitement est crucial pour prévenir et traiter la parodontite, une maladie qui affecte les tissus de soutien des dents.
Comprendre le surfaçage dentaire
Le surfaçage radiculaire, plus communément appelé surfaçage dentaire, est une technique de nettoyage profond. Ce soin cible spécifiquement les zones sous-gingivales, là où la brosse à dents et le fil dentaire ne peuvent pas atteindre. En éliminant les bactéries et les dépôts de tartre, le surfaçage permet de restaurer la santé des gencives et de prévenir la progression des maladies parodontales.

Les avantages du surfaçage dentaire
Au centre d’Orthodontie et d’Implantologie Ruthénois, nous offrons un surfaçage dentaire avec de multiples avantages.
Voici les cinq principaux bénéfices :
- Combat efficacement les maladies des gencives. Notre procédure élimine le tartre et la plaque, réduisant ainsi l’inflammation. Cela aide à prévenir les maladies parodontales.
- Prévient la perte des dents. Le nettoyage en profondeur des racines dentaires maintient les tissus de soutien en santé. Ainsi, vos dents restent bien en place.
- Assure une haleine fraîche. Nous supprimons les bactéries à l’origine des mauvaises odeurs. Votre haleine devient plus agréable.
- Offre des soins sur mesure. Chaque traitement est adapté à vos besoins spécifiques. Nous visons toujours les meilleurs résultats pour votre santé bucco-dentaire.
- Garantit confort et sécurité. La procédure se fait sous anesthésie locale. Vous êtes ainsi assuré d’un traitement sans douleur, dans un cadre sécurisé.
Le processus de traitement du surfaçage
Le processus de traitement du surfaçage dentaire au centre Ruthénois suit des étapes précises pour garantir une efficacité optimale :
- Évaluation détaillée. Au début, notre équipe évalue l’état de vos gencives pour déterminer le traitement adéquat.
- Nettoyage approfondi. Nous procédons ensuite à un nettoyage minutieux, éliminant tartre et plaque sous et au-dessus de la ligne des gencives.
- Lissage des racines. Cette étape clé implique de lisser les surfaces des racines pour empêcher l’accumulation future de bactéries.
- Traitement antimicrobien. Si nécessaire, nous appliquons des agents antimicrobiens sous les gencives pour réduire les bactéries résiduelles.
- Conseils personnalisés. En conclusion, nous vous fournissons des recommandations sur mesure pour entretenir votre hygiène bucco-dentaire et prévenir les récidives.
Nous réalisons chaque étape avec précision et attention, assurant ainsi non seulement l’amélioration de la santé de vos gencives, mais aussi une expérience patient confortable et rassurante.
Comment se déroule un surfaçage dentaire ?
Le surfaçage dentaire se réalise en plusieurs étapes. Tout d’abord, nous effectuons une évaluation complète de votre santé bucco-dentaire pour déterminer l’étendue du traitement nécessaire. Ensuite, la procédure de surfaçage proprement dite peut commencer. Généralement, nous réalisons cette procédure sous anesthésie locale pour assurer un confort optimal.
Avant le traitement :
Une bonne préparation est essentielle. Nos spécialistes procèdent à un nettoyage préliminaire et peuvent prendre des radiographies pour évaluer précisément l’état de vos gencives et de vos dents.
Pendant le traitement :
L’intervention se concentre sur le détartrage et le lissage des racines dentaires pour enlever le tartre et les bactéries. Cela permet de créer un environnement sain, favorisant la ré-attachement des gencives aux dents.
Après le traitement :
Un suivi est essentiel pour garantir le succès du traitement. Nous vous fournirons des conseils personnalisés pour prendre soin de vos dents et de vos gencives après l’intervention. Ainsi, nous programmerons des rendez-vous de contrôle réguliers pour surveiller activement votre progression.
En conclusion, le surfaçage dentaire est une procédure essentielle pour maintenir une bonne santé bucco-dentaire. Au centre Ruthénois, nous sommes dédiés à fournir ce soin avec la plus grande expertise et attention. Si vous souhaitez en savoir plus sur le surfaçage dentaire ou planifier un rendez-vous, n’hésitez pas à nous contacter. Ensemble, prenons soin de votre sourire.